Afin d’augmenter la production alimentaire (production primaire et secondaire), diverses méthodes (pratiques culturales, engrais, insecticides...) sont utilisées.

D'après un travail de Ludovic Delorme

Exemple 1 : Augmentation de la production alimentaire

Afin d’augmenter la production alimentaire (production primaire et secondaire), diverses méthodes (pratiques culturales, engrais, insecticides...) sont utilisées. L’étude d’une exploitation agricole en Chalosse (Landes) permet à l’élève d’appréhender ces méthodes (exemple issu du livre de Première ES Hachette).

Les questions

Il faut télécharger le dossier, puis utiliser les sept repères proposés pour répondre aux questions suivantes.

Les contraintes

  1. Expliquer l’apport exceptionnel d’engrais de synthèse en 2005 et montrer comment l’association culture de maïs / élevage permet une fertilisation azotée raisonnée (repères 1 et 2).
  2. Expliquer le choix de l’utilisation de Dynamaïs (repère 3).
  3. Après calcul de R2 (repère 4), expliquer la répartition des cultures compte-tenu de la production de lait attendue (R1). N.B. : Le calcul de la superficie de chaque parcelle a été réalisée à l’aide du logiciel GE Path. Rappel : Fiche technique d’utilisation.

    L'optimum
  4. Interpréter les conséquences d’un apport d’engrais (repère 5).

    Action de la Pyrale
  5. À l’aide du repère 6, commenter l’efficacité de l’insecticide liquide employé.
  6. Expliquer (repère 7) les résultats obtenus entre les parcelles A, B, C et D par rapport à la parcelle E (témoin). Indiquer l’insecticide le plus efficace.

 
 Exemple 2 : Engrais azoté et pollution par les nitrates

Il est possible d’afficher des cartes statistiques construites à l’aide du logiciel GE Graph. Rappel : Fiche technique d’utilisation.

Ventes d'engrais azotés

Il faut télécharger ce dossier, puis cocher l’ensemble des éléments. La valeur attribuée à chaque département (ici, la quantité d’azote vendue par hectare de surface cultivable en 1995) se déduit de l’échelle de couleur, ou de la hauteur des polygones.

Zones vulnérables aux nitrates

La valeur attribuée à chaque département (ici, les zones vulnérables aux nitrates en 1997, en pourcentage de la surface du département) se déduit de l’échelle de couleur, ou de la hauteur des polygones.

Les zones vulnérables aux nitrates (source MEDDE) correspondent aux parties du territoire alimentant des masses d’eau dépassant ou risquant de dépasser le seuil de 50 mg/l en nitrate, ainsi que celles présentant des tendances à l’eutrophisation. (Il est aussi possible de télécharger directement la carte des zones vulnérables (source SANDRE). Voir la qualité des cours d'eau, nitrates avec Géoclip.

L’élève peut alors comparer les deux cartes statistiques, puis réfléchir sur les conséquences de l’utilisation de l’engrais azoté dans une agriculture intensive.